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AGENDA Diagnostics vous éclaire sur les pathologies, avec des solutions à mettre en œuvre.
Découvrez quelques chiffres, pathologies et solutions sur le diagnostic Gaz et comment y remédier !
Selon Engie, 98 % des accidents liés au gaz ont pour cause la vétusté des installations, des comportements imprudents ou l'absence d'entretien des appareils. Environ 60 % des installations comportent au moins une anomalie. Chaque année en France, 3 000 personnes sont victimes d'une intoxication au monoxyde de carbone et une centaine en meurent. En outre, en cas de fuite de gaz, une explosion ou un incendie peuvent survenir, entraînant la destruction du logement, ainsi que de nombreuses victimes.
Le diagnostic gaz a pour objet d'identifier, par des contrôles visuels, des essais et des mesurages, les défauts susceptibles de compromettre la sécurité des personnes.
Une des causes fréquentes de DGI (danger grave et immédiat), entraînant une coupure de l'installation, est le mauvais état ou l'inadéquation du conduit qui relie l'appareil à gaz (chaudière par exemple) au conduit de fumée. Le faire contrôler par un professionnel est une précaution qui s'impose.
Dans un souci de sécurité, il est conseillé de remplacer régulièrement le tuyau de raccordement en gaz des appareils. Sa durée de vie peut varier de cinq ans pour un tuyau en caoutchouc, à toute une vie pour un tuyau flexible métallique.
Obsolètes depuis le 1er juillet 2015, ces robinets comportant un about porte-caoutchouc non démontable demeurent très répandus. En gaz de réseau, ils sont automatiquement considérés comme des DGI.
Elle est nécessaire pour assurer le bon fonctionnement des appareils à gaz et l'évacuation des produits de combustion des appareils non raccordés (plaques de cuisson par exemple). L'amenée et la sortie d'air doivent exister et ne doivent pas être obturées.
L’extrémité des robinets de commande et des tuyauteries en attente doit être obturée par un bouchon vissé ou soudé, ce qui n’est pas toujours le cas dans les logements vacants.
Le locataire ou le propriétaire l’oublie parfois, mais l’entretien périodique de la chaudière est une obligation. Ce contrôle annuel se révèle doublement vertueux : il permet de prévenir un dysfonctionnement, et grâce à un réglage adapté, il permet de réaliser des économies d’énergie (8 à 12 % selon l’Ademe). Cet entretien doit être réalisé par un professionnel.
Il est préférable, dans le cas d'appareils non équipés d'une triple sécurité, de remplacer les chauffe-eaux non raccordés (CENR) par des appareils raccordés ou étanches, qui sont beaucoup moins dangereux.
Certaines anomalies peuvent aisément être anticipées, comme une ventilation obturée ou un tuyau de gaz périmé. Un entretien régulier des appareils permet d'éviter des déconvenues. Si l'installation comporte un chauffe-eau non raccordé, il vaut mieux le déposer, car c'est une source de nombreux DGI.
LES PATHOLOGIES DES DIAGNOSTICS IMMOBILIERS