Le diagnostic technique global doit être réalisé d’une part lors de la mise en copropriété de tout immeuble construit depuis plus de 10 ans, et d’autre part, il doit être mis à l’ordre du jour des AG des copropriétés existantes (partielle ou totale d’habitation), en vue, notamment, de programmer un plan pluriannuel de travaux.
Le DTG s’apparente à un véritable audit de la copropriété. Sa vocation ? Éclairer les copros et leur procurer de la visibilité sur 10 ans. Un outil indispensable.
Entré en vigueur depuis le 1er janvier 2017, ce nouveau diagnostic est exigé dans trois cas : lors de la mise en copropriété d’un immeuble de plus de dix ans, lorsque l’immeuble est sous le coup d’une procédure d’insalubrité, et lorsque l’assemblée générale de la copropriété l’a voté.
La loi Alur a également précisé le contenu de ce diagnostic qui intègre un DPE collectif voire un audit énergétique lorsque la copropriété compte plus de 50 lots. De plus, le DTG comprend une analyse de l’état apparent des parties communes et des équipements communs de l’immeuble, ainsi qu’un état de la situation du syndicat des copropriétaires au regard des obligations légales et réglementaires au titre du Code de la construction et de l’habitation.
Le DTG va plus loin que l’état des lieux. Il doit aussi comporter une analyse des améliorations possibles de la gestion technique et patrimoniale de l’immeuble, et une liste des travaux nécessaires à la conservation de l’immeuble pour les dix prochaines années, avec une évaluation sommaire de leur coût.
Le réseau AGENDA Diagnostics a bâti une prestation taillée sur-mesure pour petites et grandes copropriétés.